Toujours présente dans nos coeurs.
Toujours présente dans nos coeurs.
Elke morgen als ik in de spiegel kijk denk ik aan je .. hoe mooi je zei dat ik een kusje op de wang gekregen had van iemand met lippenstift... maar het was een gezichtsvlekje.
Je lachte er hartelijk om
Mis je en ben blij dat ik binnenkort Ann en Nancy op bezoek heb, zo zijn we weer samen
xx Valérie
Always in our hearts - the glue to our friendschip
Once again you were the glue to our friendship.
Today, we gathered at your grave and raised a glass of Hoegaerden. “with lemon” of course :-) Cheers to you xx who we have to miss forever. Gratefull for the moments we shared and always there in our thoughts when we, your dear friends, gather.
Eric, Marie, Leopold, Juliette, Jacqueline, Henri, frères, beaux frères et les parents d’Eric, don’t loose heart in difficult imes.
Thank you for all the love we share.
Valérie, Sophie, Nancy, Ariadne, Ann
Morgane MGBT
donnes moi des nouvelles avec les vagues je t'embrasse, gros biz.F
Il était une fois une femme qui rencontra un homme dans un café à Anvers, ce fut le coup de foudre pour les deux. Après quelques années à se fréquenter et dans l’attente d’un heureux événement, ils se marièrent. Leur mariage était digne d’un conte de fée, ils avaient privatisé la cathédrale d’Anvers pour la partie religieuse et loué un bâtiment qui ressemblaient fortement à un château pour la fête de mariage. Ce décor digne des plus beaux contes allait, d’ailleurs, très bien avec la mariée qui était une personne douce, généreuse, altruiste et d’une beauté sans égale, certains auraient même utilisé le mot « magnifique » pour la décrire. Ils respiraient la joie de vivre. Ils vécurent 30 ans ensemble dans un bonheur absolu à voyager de part le monde, à élever leurs 3 enfants, à s’aimer tout simplement.
Ce couple était vraiment un couple modèle; frappés d’une jeunesse éternelle, l’homme comme la femme ne semblaient pas vieillir malgré le temps qui passait.
Seulement voilà, la femme n’était pas une femme comme les autres. Bien au contraire, elle était unique. Sa gentillesse hors-normes attirait les gens instinctivement, souvent les entendait-on dire: « Oh, je ne la connais pas vraiment mais je pourrais très bien être amie avec elle ». Et c’était bien là sa force: elle savait se faire aimer des autres et aimer les autres. On savait que l’on pouvait toujours compter sur elle, que malgré les disputes, les violences verbales dites sur le moment.. elle savait passer au-dessus, pardonner et aider son prochain sans demander rien en retour.
Mais voilà, au bout de 27 ans de mariage ce couple parfait dû se séparer; et non par car ils ne s’aimaient plus; bien au contraire leur amour était toujours aussi fort qu’au premier jour; mais parce que la femme était attendue dans d’autres horizons. Quelque part quelqu’un avait besoin d’elle. Elle réunit donc tous les siens autour d’elle et dans un moment très fort en émotion où, malgré la très forte tristesse (c’est si dur de dire au revoir quand l’on sait que c’est pour toujours), on pouvait sentir tout l’amour qu’unissait cette famille, elle leur dit adieu. Et une seconde plus tard, seconde qui sembla à la fois éternelle et fugace, elle s’envola vers d’autres cieux ou l’autre personne, l’autre famille, qui avait tant besoin d’elle l’attendait.
Oui. Effectivement. Cette femme n’était vraiment pas comme les autres: elle était là pour faire le bien.
Gelukkige Verjaardag Marie Laure ❤️
Wij denken aan u op uwe verjaardag ❤️
Birthday
« Moi, si j’étais le bon dieu, je crois que je ne serais pas fier. » Jacques Brel
Voor mijn beste Belgische vriendin in Parijs
Chère Marie-Laure, lief Mieke,
Notre petite princesse du Nord
Marie Laure, je me souviens de la première photo de toi qu'Eric nous a montrée, avant que nous fassions ta connaissance. Ravissante et espiègle, les cheveux cachant légèrement ton visage, tu riais, assise sur une dune de sable, au bord de la mer du Nord.
Je me souviens de notre première rencontre en gare de Berkem , où tu étais venue nous attendre Sophie et moi, avec Eric. On n'en a ri, après, et tu nous as dit combien tu étais terrorisée par ces deux sœurs du Sud venues comme en reconnaissance, pour valider le choix de leur frère chéri.
Et nous avons passé un merveilleux week end à rire ensemble et manger des glaces dans ta ville, Anvers !
C’était parti, nous avions une petite sœur du Nord et nous étions fières comme Artaban !
Après, il y a eu votre mariage de conte de fée, ton visage rayonnant sous ce grand chapeau poétique et cette chaleur incroyable que tu supportais avec tant d’élégance en recevant les invités au château de Brandt, avec ton sourire magnifique.
Je t’admirais et en écrivant ces lignes, je ressens combien tous mes souvenirs de toi sont emprunts d’admiration, d’amour et de poésie. Admiration pour ton courage, ta faculté à savoir savourer tous les instants de la vie et ne voir toujours que le verre à moitié plein.
La poésie de la naissance de Marie, cette nuit de décembre où il neigé à Versailles et ce bonheur dans tes yeux, encore en salle d’accouchement. La naissance de Léopold et de Juliette, dans cette même clinique du château de la Maye. Bon, n’exagérons pas non plus, ils ne sont pas nés au Château de Versailles, mais….., dans mon souvenir, c’est un peu ça malgré tout.
Tu as aimé profondément cette ville de Versailles, où vous vous êtes installés pour le métier d’Eric et que tu as su faire tienne. Oui, ta force était de rester complètement toi tout en t’adaptant à tous les lieux où tu as vécu.
Tu as su aimer tout aussi fort Bogota où vous êtes partis vivre tous les cinq ensemble, un beau jour.
Pas l’ombre d’une peur en Colombie pourtant pas vraiment réputée pour sa tranquillité, mais au contraire un vrai désir de découverte.
Toi qui parlais déjà le flamand, le français, l’anglais et l’allemand, tu as appris l’espagnol avec une facilité déconcertante.
J’ai eu la chance de venir passer des vacances chez vous et tu as été le meilleur des guides.C’est simple, la Colombie reste le pays d ‘Amérique latine que j’ai préféré !
Il y eu le Mexique aussi, le Venezuela et puis le Luxembourg. Oui, parlons du Luxembourg, où j’étais allée jeune et qui m’avait paru d’un ennui total. Et bien, la théorie du verre à moitié plein a encore fait ses preuves parce c’est un tout autre pays que j’ai découvert grâce à toi ! Je garde de si bons souvenirs nos promenades dans la forêt , de nos virées chez Smet et au Cactus. Avec toi, je lâchais prise, je me sentais protégée.
Au total 14 ans d’expatriation et des voyages au Pérou, au Chili, et tant d’autres pays que tu photographiais avec talent.
Les étés, nous nous retrouvions tous dans le Sud, à Riez, et nous avons fini par acheter nos maisons dans la même petite rue de l’horloge. Parce qu’en épousant Eric, tu as eu la générosité d’accepter la tribu des Guillon et sa Provence rugueuse. Tes parents, tes frères et belles sœurs ont agrandi le cercle de nos pique-niques du soir au bord du lac. Sur la plage, on reconnaissait toujours tes sandwichs, faits minutieusement, avec amour, tes salades composées et ton thermos de thé vert.
Et puis de retour en France pour de bon, nous avons monté toi et moi, avec l’aide d’Eric, notre marque de foulards. Tu avais travaillé cinq ans, avant la naissance des enfants chez Patagonia, la marque américaine de vêtements de sport et les enfants élevés, l’aventure te tentait. J’avais quitté le journal et je me cherchais. Bon…., nous n’avons pas concurrencé Hermès, mais nous avons eu un vrai succès d’estime et nous sommes allées jusqu’au bout ! Bravo à nous ! Peu importe les jours d’énervement, restent le champagne de nos soirées d’inauguration dans les nouvelles boutiques, notre fierté et les foulards qui n’auraient jamais vu le jour sans toi ! Merci pour ton amour du travail bien fait, ton souci du moindre petit détail, ta rigueur et ton soutien constant.
Courageuse, encore et tellement, ces mois derniers face à cette sale maladie, et .....,poétique en dépit de tout. Je garde gravés en moi notre promenade dans le parc du château avec ses marronniers roses et ton If majestueux, la conférence sur l’éclairage à la bougie à Versailles, ta jolie coupe au carré qui te donnait un air de petite indienne combative, et ton grand regard profond.
Et surtout, ne t’en fais pas, tu as donné tellement d’amour à tes enfants et ton mari qu’ils sont armés pour la vie.
Chapeau bas, notre petite princesse du Nord !
Merci ma chérie
Je voudrais remercier, vous tous qui avez pu venir à Anvers en ce mardi 2 juillet et aussi tous ceux qui étaient avec nous par la pensée comme en témoignent les nombreux messages de soutien que nous recevons, qui nous touchent et nous aident à passer cette épreuve.
Je souhaite remercier aussi tous ceux qui ont organisé cette journée avec beaucoup de gentillesse et d’amour ; sans pouvoir les citer tous mais en particulier : les frères et les parents de Marie Laure, Ariadne, Tristan, Ann et Wilfried.
En cette journée où nous avons accompagné ma Marie Laure chérie à son lieu de repos éternel, nous étions, et moi le premier, excessivement tristes.
Mais je voudrais cependant ne pas me laisser, nous laisser happer, accaparer par cette tristesse et, comme toi Marie Laure savoir rester positif, savoir mesurer la chance que l’on a ou que l’on a eue et savoir dire merci.
Alors je souhaite te dire merci ma chérie pour ces 30 années de bonheur que nous avons vécues ensemble depuis notre première rencontre ici à Anvers tout près de cette cathédrale.
Merci pour ce véritable coup de foudre que j’ai eu en te croisant en 1989 au Swing Café où Jean Vijdt, un musicien et véritable show man donnait des concerts. Après ce coup de foudre, je n’en avais pas dormi de la nuit ! Francois, mon meilleur ami qui était avec moi, peut en témoigner !
J’avais immédiatement été séduit par ce regard vert et lumineux, par ton sourire plein de gentillesse qui te caractérisent tant !
Merci pour ce magnifique mariage célébré dans cette même cathédrale d’Anvers où j’avais l’impression d’être un Prince et toi bien sûr ma Princesse du Nord !
Merci pour m’avoir fait découvrir et aimer cette belle ville d’Anvers, pleine de charme, où il fait bon vivre.
Merci de m’avoir accueilli dans ta grande famille dont la bienveillance, la gentillesse, la joie de vivre sont et seront toujours un fantastique réconfort.
Merci pour avoir mis au monde et parfaitement élevé nos 3 beaux enfants qui aujourd’hui sont admirables face à cette épreuve que nous vivons.
Merci pour t’être toujours occupé de nous avec amour et nous avoir expliqué pourquoi et comment bien faire les choses avec discipline et méticulosité.
Merci aussi pour ton humour « à la belge » et tes éclats de rire si spontanés.
Merci pour m’avoir suivi et supporté dans mes projets, par exemple comme copilote précieuse des road trip en voiture de collection, ou encore pour s’expatrier pendant 14 années dont 11 en Amérique Latine.
Merci de m’avoir fait découvrir le bonheur d’aller à un concert de musique classique, un opéra ou à une exposition de peintures.
Merci pour ces milliers de superbes photos que tu as prises qui nous permettent de nous souvenir de ces moments de bonheur.
Merci de m’avoir fait aimer les balades dans le Parc du château de Versailles, d’écouter et apprécier la nature comme tu le faisais.
Car maintenant tu fais partie de cette nature et c’est à travers elle que nous serons pour toujours réunis.
Nous avons la chance d’avoir ton arbre dans le parc du château Versailles cet IF que tu aimais où nous pourrons aller nous ressourcer, te retrouver et qui me permet aussi de terminer ces quelques mots par une très belle citation d’Alphonse de Lamartine, extraite de son poème le Vallon :
« … Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ;
Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours
Quand tout change pour toi, la nature est la même,
Et le même soleil se lève sur tes jours »
Ces quelques vers me rassurent pour l’avenir, merci encore ma chérie, mon ange gardien et mon étoile, notre étoile du Nord pour toujours !
De bomen komen uit de grond en uit hun stam de twijgen en iedereen vindt het heel gewoon dat zij weer bladeren krijgen ,we zien ze vallen op de grond en dan opnieuw weer groeien ,zo heeft de aarde ons geleerd dat al wat sterft zal bloeien
Les arbres viennent du sol et de leur tronc les brindilles et tout le monde pense qu il est très normal qu’ils aient encore des feuilles,on les voit tomber au sol puis repousser pour que la terre nous apprenne que tout ce qui meurt fleurira
À ma grande soeur et ma marraine adorée
Tu es ma soeur et tu es ma meilleure amie.
Tu m’as toujours aidé à y voir plus clair lorsque je traversais des moments difficiles.
Tu as toujours été là dans mes choix et mes peines pour ne pas que je me perde.
Tu es dans mon coeur pour toute la vie et je te dis pour une autre fois
Je t’aime ma soeur chérie
xxx
Une soirée ensoleillée
Il y en a encore
Ma petite maman,
Depuis que nous sommes petits avec Marie et Juliette, tu nous as souvent dit cette phrase "Quand il n'y en a plus... Il y en a encore!!". C'était un vrai bonheur de t'entendre me dire ça quand je finissais un pot de Nutella et que je me demandais avec quoi j'allais pouvoir manger ma tartine...
C'est une phrase que tu m'as répétée tout au long de mon enfance, comme si tu voulais vraiment ancrer ce message en moi. Et aujourd'hui je comprends que ce message a bien plus de sens et d'importance que ce que je pensais jusqu'à présent.
Je réalise que même si tu n'es plus physiquement avec nous aujourd'hui, ton amour, lui... il y en a encore.
Je t'aime.
Ton Weuzebeuze
Un été d'Anvers
Acte I
Un été d'Anvers
La dernière fois que j'ai eu la chance d'aller a Anvers, c'était pour le mariage de Marie-Laure et Eric, je crois que je ne me suis jamais senti aussi mal ! non mais une fois fieu...
Le plat pays nous a réservé, ce jour bénit, la bonne blague de se transformer en marmite géante surchauffée par les émanations d'un soleil sans concorde, décidé a nous faire frire à feu vif, au point de se retrouver aussi délicatement rôtis et luisants que des Churos..
Heureusement
la bière coulait a flot et le modeste désagrément de se sentir
liposucer par ma toute nouvelle chemise en polyester se retrouva
bien vite noyé au fond de quelques chopines. Me consolant de
surcroît en regardant mon fréro se soumettre au protocole et aux
frasques de cette météo capricieuse, fumant de tout son être a chaque
apparition de la belle...
Il la pas lâcher d'une semelle quel eu été la température et ce pendant trente ans, bravo a vous ! respect ! et merci pour nous...( moi qui est du mal a négocier avec une plante verte ! quoi ? un chat ? ça va pas... t'as craqué !)
Ces deux la ce sont fondu dans l'alliage dès la première seconde.
j'en atteste
Acte II
Fusion du soir,
Quelques mois auparavant, même Ville, quelque part dans un triangle délimité par la mairie, la rue Sint-Maartenstraat-brough...(suis pas sur de l'orthographe...), et le zoo.
Nous visitions
avec une assiduité et un intérêt non dissimulé, les différents
équipements culturels de cette merveilleuse ville d'Anvers, Café
d'Anvers, le Muze, Jones & Co. etc..Noyant notre statut
de célibataire au fond de quelques chopines, rêvassant et discutant des
beautés de ce pays exotique, nous amusant de cette langue mystérieuse
et de son équipe nationale...NON ! je déconne !
Bref, voila t'i pas qu'au moment ou nous quittions la Bibliothèque Nationale (oui, oui...), vent de panique ! je me sens happer par le colbac, projeter en arrière comme un vulgaire paquet de chips... parviens à retrouver mon équilibre, mes sens... et face a moi stupeur ! un grand singe déboussolé tombé du plus haut de son arbre, se tapant les pectoraux a coup de chopine et trépignant sur place en me serrant le kiki a 2 mains... s’essoufflant dans un râle désespéré: T'as vu cette nana...T'as vu cette bombe...T'as vu cette fille... T'as vu cette nana...T'as vu cette bombe...T'as vu cette fille...T'as vu cette nana...T'as vu cette bombe...T'as vu cette fille...T'as vu cette nana...T'as vu cette bombe...T'as vu cette fille...T'as vu cette nana...T'as vu cette bombe...T'as vu cette fille...
Je la fait courte la, parce-que en fait ça a duré non-seulement tout le reste du week-end, mais jusqu’à ce que ce bienveillant destin daigne a refaire se croiser, les 2 individus... en attendant l'humanité, la diligence, l'altruisme, la générosité... tout avait quitté le corps de l'homme qui se tenait devant moi ! figé, hébété, hagard...
En un claquement de cille, sur un regard, une rencontre.
Au delà des innombrables moments passés avec vous, j'ai eu le privilège d'assister a ce moment incroyablement fort, un moment de grâce, un de ces instants qui nous grandit tous et qui rend le monde meilleur.
Et Marie-Laure, je te confirmes que tu l'as rendu tellement heureux.
Bises a toi, et merci a vous 2
F
Dear Marie-Laure
Some people come into our lives and leave footprints on our hearts and we are never ever the same.
You are such a person
My dear friend, it is not true. In my heart it is simply not true. In my head it is simply not true. Not yet. You are so alive !